Salut les amigos. Ca faisait un bail, n’est-ce pas ? Figurez-vous qu’en ce moment je suis tellement occupée que je n’ai pas le temps de me couper les ongles, ça commence à être problématique pour la tarée de la manucure que je suis censée être à la base. Allez, après cet article et dès que Monsieur Chéri est reparti travailler, je m’occupe de ça. C’est plus trop possible là. Aujourd’hui, je reviens encore faire ma chieuse qui réfléchit beaucoup tout ça, parce que depuis quelques semaines, je suis en pleine interrogation…
L’accouchement à la maison est menacé en France
Oui, c’est ça qui me préoccupe.
Pour ceux qui ne sont pas au courant, je n’ai pas d’enfants, mais je sais que j’en veux et que j’en aurai. Je ne m’imagine pas sans, et je serais malheureuse comme les pierres si ça se révélait impossible pour des raisons médicales. Avoir rencontré Monsieur Chéri et être persuadée, au plus profond de moi-même, dans mes tripes, que c’est mon amour pour toujours a encore renforcé cette idée que sans enfant, je ne pourrais pas m’épanouir totalement. Alors c’est pas envisagé là tout de suite maintenant, évidemment, mais je sais que ce sera une étape qui jalonnera ma vie, et pas qu’une seule fois.
Et avec tout le chemin que j’ai parcouru, toutes les réflexions personnelles que j’ai menées dans le domaine de la parentalité, de l’éducation, de ma féminité aussi, et de mon envie d’être mère, je sais qu’il y a des choses qui me tiennent d’ores et déjà vachement à coeur, qui me paraissent déjà très importantes. Parmi ces choses on trouve pêle-mêle l’allaitement (impossible de m’imaginer ne pas allaiter), l’éducation non-violente (ce serait un comble quand même), et au milieu de tout ça je voudrais une grossesse respectée, et je voudrais être maîtresse de mon corps jusqu’au bout.
Alors dans le meilleur des cas, si tout se passe bien, je voudrais accoucher chez moi. (suite…)